Pour Emmanuel François, ces acteurs ont besoin d’être accompagnés avec la ferme intention que ces changements d’usages se réalisent dans l’immédiat, même si cela engendre quelques réticences au départ.
Ce chemin doit être fait dès maintenant par tout l’écosystème en place. C’est une décision qui doit être prise en amont et qui doit permettre de faire passer notre industrie à l’ère du XXIème siècle.
Le monde de la construction doit prendre en compte son environnement. Il ne faudrait pas que le monde du bâtiment suive le même parcours que celui de l’industrie automobile qui n’a pas su anticiper les changements d’usage.
Aujourd’hui, nous allons être de moins en moins dans la propriété, dans la voiture individuelle, mais beaucoup plus dans la multimodalité, dans une modalité électrique basée sur le partage.